Musique
Chansons
Québec blues
(songs in french)
cliquez pour agrandir
Le « québécois » (le français parlé dans la province du Québec, au Canada) m'a toujours semblé être « taillé sur mesure » pour le blues. Comme l'anglais parlé aux États-Unis, le québécois est un langage difficilement assimilable et cette caractéristique le rend très particulier. Ce langage a une saveur unique.
Le québécois ne se résume pas aisément. On ne l'explique pas facilement. Ce langage peut être perçu comme haché, mâché, tronqué. Sur ce point, en ce qui me concerne, la comparaison avec le parlé des bluesman du sud des États-Unis, est flagrante. De plus, la situation géographique de la province du Québec, la place comme un îlot entouré par une Amérique anglophone. Cette singularité a eu pour effet de teinter son langage d'un mélange d'anglicismes qui sont propres à cette province. Ce tout, fait que le langage québécois et le blues forment une paire indissociable.
L'idée de « Québec blues » me trottait dans la tête depuis un bon moment. Faute de ne pas être dans un milieu musical qui me permettrait d'être en contact avec de « vrais » musiciens, je me suis tourné vers la technologie. Deux logiciels m'ont donné la possibilité de concrétiser mes idées, Band in a Box et Logic ProX. J'ai enfin eu la possibilité d'inventer des ambiances de blues que j'entends depuis longtemps. Bien sûr, les influences sont multiples et je ne veux surtout pas les renier. Quand je parle d'influences, je ne pense pas que j'ai fait du plagiat, mais il y a indéniablement des saveurs et des échos de musiciens Québécois tel que Robert Charlebois, Plume, Offenbach et les Colocs.
En plus de chanter, je me suis fait plaisir à jouer ici et là, du saxophone et de l'harmonica. Je ne me considère pas comme un ingénieur du son. J'ai fait le mixage des morceaux en apprenant sur le tas, en faisant des essais, en regardant sur internet. Il me semble néanmoins que le son général des morceaux est « écoutable ».
Le québécois ne se résume pas aisément. On ne l'explique pas facilement. Ce langage peut être perçu comme haché, mâché, tronqué. Sur ce point, en ce qui me concerne, la comparaison avec le parlé des bluesman du sud des États-Unis, est flagrante. De plus, la situation géographique de la province du Québec, la place comme un îlot entouré par une Amérique anglophone. Cette singularité a eu pour effet de teinter son langage d'un mélange d'anglicismes qui sont propres à cette province. Ce tout, fait que le langage québécois et le blues forment une paire indissociable.
L'idée de « Québec blues » me trottait dans la tête depuis un bon moment. Faute de ne pas être dans un milieu musical qui me permettrait d'être en contact avec de « vrais » musiciens, je me suis tourné vers la technologie. Deux logiciels m'ont donné la possibilité de concrétiser mes idées, Band in a Box et Logic ProX. J'ai enfin eu la possibilité d'inventer des ambiances de blues que j'entends depuis longtemps. Bien sûr, les influences sont multiples et je ne veux surtout pas les renier. Quand je parle d'influences, je ne pense pas que j'ai fait du plagiat, mais il y a indéniablement des saveurs et des échos de musiciens Québécois tel que Robert Charlebois, Plume, Offenbach et les Colocs.
En plus de chanter, je me suis fait plaisir à jouer ici et là, du saxophone et de l'harmonica. Je ne me considère pas comme un ingénieur du son. J'ai fait le mixage des morceaux en apprenant sur le tas, en faisant des essais, en regardant sur internet. Il me semble néanmoins que le son général des morceaux est « écoutable ».